Bien obligée de se défaire des hydrocarbures russes, l’Europe multiplie les partenariats afin de recevoir massivement du gaz naturel liquéfié acheminé par bateaux, malgré l’impact de ce combustible fossile sur l’environnement. Une alternative pourrait consister à accélérer le « biogaz », qui ne représente aujourd’hui qu’1% de la production totale de gaz en France.